lundi 24 août 2015

ReporStage : Manon Cottrel en stage chez Com’Over

Manon, peux-tu te présenter ?

Je m'appelle Manon Cottrel et je suis actuellement en Master 2 Management du Sport. Je suis originaire d'Angers, où j'ai réalisé une licence Information-Communication qui m’a permis de découvrir le domaine de la communication et du journalisme notamment. Après un semestre Erasmus à Fribourg, en Suisse, je suis arrivée à Caen pour le Master Management du Sport. J’ai réalisé mon stage de Master 1 au sein du Comité d’Organisation des Championnats d’Europe d’escrime à Strasbourg, au poste d’assistante Communication et Marketing. Pour mon stage de Master 2, j’avais la volonté d’intégrer une agence de communication et d’événementiel spécialisée dans le sport.

Et cette année, où es-tu en stage ?

Je réalise actuellement un stage de six au sein de Com’Over, agence lyonnaise de communication et d’événementiel spécialisée dans le sport, la RSE et l’entertainment, où j’occupe le poste d’assistante chef de projet. Nous sommes actuellement six personnes au sein de l’agence. Com’Over a de nombreux clients (la NBA, MasterCard, la Caisse d’Epargne Rhône-Alpes …) mais pour ma part, je travaille principalement sur l’organisation des courses ElectroDash 5K, des courses festives, des « fun runs », qui ont lieu de nuit avec des modules fluo et un concert électro à l’arrivée ! Les trois premières dates à Marseille, Toulouse et Nantes ont réuni plus de 13 000 participants et cinq dates sont à venir pour septembre/octobre.
En amont des événements, mes missions sont très larges, de la recherche de prestataires aux relations avec les partenaires en passant par la gestion des réseaux sociaux et la réalisation d’outils de communication – entre autres. En opérationnel, je cours un peu partout mais ma mission principale est la gestion des bénévoles et j’adore ça ! Toutes ces missions très différentes me permettent de découvrir l’organisation d’un événement de A à Z et c’est vraiment très enrichissant.

Comment ça se passe ?

Parfaitement bien ! L’équipe est soudée et l’ambiance de travail est géniale. Je suis très heureuse de faire partie de cette agence et je sais que même si ma mission est bientôt terminée, je resterai en contact avec certaines personnes.
Au niveau de mes missions, tout s’enchaîne très vite et il n’y a pas le temps de souffler mais c’est ce qui est intéressant. Il y a toujours quelque chose à faire, une solution à trouver, un problème à résoudre ! Je sens que j’évolue, tant sur un plan professionnel que sur un plan personnel.

Des perspectives d’embauche ?

Suite à ma période de stage de six mois, il était prévu que je continue sur un contrat court, afin de terminer la saison des courses ElectroDash 5K, mais je viens de décrocher un poste en CDI à la Ligue d’escrime du Lyonnais, en tant que responsable Communication et Marketing ! Je n’avais pas forcément prévu de trouver un poste aussi vite mais c’est une belle opportunité qui s’est présentée et je n’ai pas voulu la laisser passer. Un poste intéressant autour d’un sport qui me passionne et dans une ville que j’adore, que demandez de plus ?

Comment t’acclimates-tu à la ville de Lyon ?

J’adore Lyon. C’est une ville magnifique et il y a toujours énormément de choses à faire ou à voir.
Au moment de rechercher un stage, je n’avais pas forcément de me retrouver sur Paris, même si je savais que la plupart des opportunités se trouverait là-bas. Partir à Lyon était l’alternative parfaite puisque cela me permet de me retrouver entre Angers et la Suisse où j’ai toujours des attaches.

Echanges-tu sur ton stage avec tes camarades de promo ?

Oui, je suis toujours en contact avec certaines personnes et j’ai même pu profiter du passage d’ElectroDash 5K à Nantes pour revoir Marine Buttin et Florent. J’échange aussi beaucoup avec Marine Deschamps, c’est un peu une grande sœur pour moi et je lui demande souvent son avis si j’ai besoin d’un conseil.
Toutefois, je me sens parfois un peu exilée, toute seule dans le sud (à savoir, pour les Lyonnais, le nord se trouve au nord de Lyon). J’attends toujours que mes camarades viennent me rendre une petite visite ! Peut-être pour l’inauguration du Stade des Lumières, qui sait ;)
Une photo publiée par ElectroDash 5K France (@electrodash5kfr) le
Que nous recommandes-tu de suivre ?

ElectroDash 5K est présent sur Facebook, Twitter, Instagram et même Snapchat et bientôt à Strasbourg, Lyon, Bordeaux, Rennes et Nice ! Toutes les informations se trouvent sur le site web de l’événement : www.electodash5k.fr ! Venez nous rendre une petite visite :)






lundi 17 août 2015

ReporStage : Damien Neuville en stage chez Odyssea


Damien, peux-tu te présenter? 
je m’appelle Damien Neuville et je suis actuellement en Master 2 Management du sport. Après avoir réalisé un DUT Techniques de Commercialisation à l’IUT de Caen, j’ai décidé de revenir à mon premier amour : le sport. J’ai donc décidé d’intégrer la Licence Staps Management du Sport, en 3ème année. J’ai ensuite poursuivi mon parcours en Master 1, avec à la clé un stage de 4 mois au sein des Courants de la Liberté, organisateur de la 2ème plus importante course féminine de France, la Rochambelle. J’avais le rôle d’assistant logistique au sein de l’association. Cette première expérience dans ce domaine m’a conforté dans mon idée de me professionnaliser dans cette voie.

Et cette année, où es-tu en stage? 
Je réalise actuellement mon stage au sein de l’association Odyssea, ou j’occupe la fonction d’assistant chef de projet. L’avantage d’une structure associative comme celle-ci, c’est que l’on travail sur des domaines très différents. Je suis principalement en charge de la partie logistique pour la course de Paris, mais je travaille en parallèle sur la communication. Une de mes missions principale est également de m’occuper du Challenge Entreprises.
Je travaille aussi sur nos courses hors Paris (Dijon et Brest). Mon rôle est de travailler en collaboration avec les organisateurs locaux. Je dois préparer la production et la livraison des supports de communication (affiches et flyers), prévoir toutes les livraisons (eau, t-shirts, échantillons des partenaires, dossards, tenues bénévoles), réaliser les plans de village et de parcours et veiller à ce que tout se fasse en fonction de ce qui est décidé par l’association pour toutes les courses du circuit. Ce travail et cette relation à distance avec les organisateurs locaux n’est pas toujours simple. Les missions sont donc très variées, et c’est ce qui me plait dans ce genre de structures.

Comment ça se passe? 
Cela fait maintenant plus de 3 mois que je suis arrivé dans l’association et tout se passe pour le mieux. Notre équipe se compose de 6 personnes, dont 4 ont moins de 25 ans. Nous formons désormais une vraie équipe soudée.
La structure étant petite, nous avons toujours plein de choses à faire et pas le temps de nous ennuyer. En ce moment avec l’été et les congés, nous avons un peu plus de temps car les entreprises nous sollicitent beaucoup moins. Nous pouvons souffler un peu et travailler sur des dossiers de fond, ce qui n’est pas facile quand on doit gérer tout le quotidien et les dossiers prioritaires.

Le stage te donne-t-il l'occasion d'étendre ton réseau pro? 
Nous sommes en relation avec un nombre important d’entreprises d’autres secteurs, de prestataires techniques, de fournisseurs et de gens travaillant dans les collectivités locales... Cela nous permet de rencontrer des personnes influentes dans le monde de l’évènementiel sportif, sur la région parisienne principalement.

As-tu des perspectives d'embauche? 
C’est compliqué car dans ce genre de structures associatives, il y a très peu de salariés. Il faut rester en contact pour être à l’affut des opportunités pouvant se créer avec le développement de l’association. Je suis donc en train de chercher ailleurs les opportunités qui pourraient m’intéresser. J’ai d’ailleurs un entretien pour un poste sur l’Euro 2016 au niveau de la gestion des bénévoles. Je pense qu’une expérience sur un évènement de cette ampleur serait un plus pour la suite, en terme d’expérience et de renommée de l’organisation.

Comment t’acclimates-tu à cette nouvelle ville ? 
La Normandie, mes vaches et ma campagne me manquent ! J’essaye de revenir dès que je le peux. D’autres ont déjà vendu leur âme au diable, comme Jonathan qui se met à supporter le Stade Français, et probablement le PSG en cachète. Quelle honte ! 
Plus sérieusement, je me suis bien habitué à la vie parisienne. Il y a plein de choses à faire, plein d’endroit pour sortir, d’autres à découvrir. Il faut s’habituer mais quand on est jeune, c’est un endroit vraiment sympa. Ca ne me dérangerais pas d’y rester encore un peu en cas de bonne opportunité. 

Echanges-tu sur ton stage avec tes camarades de promo ?
Oui, nous ne retrouvons de temps en temps avec les autres stagiaires parisiens, et d’anciens du Master 1. Cela nous permet d’échanger sur nos différentes missions, les différentes personnes que nous rencontrons... Nous assistons aussi ensemble à divers évènements/rencontres sportives, nous avons un choix varié sur Paris !

Que nous recommandes-tu de suivre ? 
Odyssea, c’est 9 courses partout en France, il y en a forcément une près de chez vous (Nantes, Bayonne, Chambéry, Dijon, Brest, Cannes, Paris, Auxerre et la Réunion). Nous venons de lancer les compte Twitter et Instagram en juin (@odyssea_fr). 


Le point d’orgue de l’année est la course de Paris, qui aura lieu les 3 et 4 octobre prochain. Avec un record du monde en vue, mais je n’en dirai pas plus... J



mercredi 12 août 2015

ReporStage : Laetitia Chirlias en stage en Australie



Laetitia, quel est ton parcours? 
J’ai eu un cursus universitaire jusqu’alors réalisé à l'UFR STAPS de l’Université Paris-Est Créteil (UPEC). Cependant, je n’étais pas présente physiquement en troisième année de Licence, car j’ai eu la chance d’avoir été acceptée au programme ERASMUS pour intégrer la Leeds Metropolitan University (UK). J’ai passé une autre année à l’étranger en 2014, mais cette fois-ci sans contraintes scolaires, j’ai pris une année sabbatique après mon M1 pour partir en Australie. C’est au retour de l’Australie que j’ai décidé de changer d’université pour ma dernière année de Master et que je suis arrivée à Caen.

Autrement, pour ce qui est du parcours pro, j’ai eu une première expérience de stage en L2 au sein du Comité d’Organisation des Championnats d’Europe d’Athlétisme en salle (POPB). Le stage n’étant pas compris dans le cursus du bachelor anglais, j’ai attendu le M1 pour ma seconde expérience dans l’évènementiel sportif. J’ai alors fais partie, pendant six mois, du Comité d’Organisation des Championnats du Monde d’Athlétisme Paralympiques (Lyon).
Mon projet pro, c’est d’intégrer des structures organisatrices de grands événements sportifs et d’être confrontée à des problématiques relatives à la logistique etc. A long terme : intégrer une grande instance sportive, mais on en est encore loin, aujourd’hui !

Et tu es allée en Australie pour ton stage… 
J’ai fait mon stage de M2 au sein d’une agence créatrice et organisatrice d’événements sportifs. Il s’agit de QSM Sports situé à Brisbane (AUS). L’agence organise essentiellement des épreuves cyclistes et de triathlons. Durant mon séjour, nous travaillions sur Byron Bay Triathlon et Battle On The Border, une épreuve cycliste s’étalant sur trois jours, avec entre autres des catégories élites dont les performances étaient retransmises par Fox Sports et 9.
Je suis restée dans la structure trois mois, car le stage était non rémunéré et qu’il représentait un effort financier très conséquent. Mes missions étaient essentiellement tournées vers la communication et le marketing. Ce qui n’est pas mon domaine de prédilection, mais qui pour le coup m’a énormément appris.

Comment cela s’est-il passé ?
Cela c’est très bien passé. Je suis très contente de mon stage. Cependant je dois avouer que ce n’était pas évident tous les jours. Cela essentiellement due à la langue et bien évidemment lié aux pressions financières et de temps qui émanent de l’organisation. Je me débrouille plutôt bien en anglais, mais l’anglais dans le cadre professionnel, de la rentabilité, de l’efficacité : c’est une autre dimension. Je n’avais jamais connu ça auparavant.
Mon tuteur de stage m’a proposé de revenir en Septembre, pour un poste à petite rémunération. Donc j’étais très euphorique sur le coup. Cependant, je pense décliner si je trouve une opportunité qui convient mieux à mes aspirations, mais toujours à l’étranger.

Comment t'es tu acclimatée à ta nouvelle ville? 
Je me suis acclimatée très vite. La plage, les 25 degrés ambiant (en hiver !) et les explorations la plupart des weekends y contribuaient beaucoup. Le pays est fort sympathique, la population très active. Les expériences à l’étranger, c’est le top. On s’acclimate forcément si on est ouvert. J’encourage vraiment tous les étudiants qui hésitent à se lancer à l’étranger de le faire.

Échanges-tu sur ton stage avec tes camarades de promo? 
Oui. Nous échangeons pas mal avec certains. J’en ai même déjà revu, car je suis rentrée en France il y a un mois. C’est le côté sympa, de se voir en dehors du contexte étudiant et de celui de quasi-professionnel. On se voit tous un peu changer et évoluer.